1764 / LETTRE DE BORDEAUX / RARE TEXTE
SUR LE COMMERCE AVEC ST DOMINGUE HAITI
ET HISTORIQUE SUR LA FAMILLE ROUFFIO CANADA ET FRANCE
VOIR HISTORIQUE CI APRES LE PARAGRAPHE « DESCRIPTION »
DESCRIPTION
ANNEE 1764
FORMAT in 4°
FEUILLE DOUBLE
USURE DU PAPIER EN PARTIE HAUTE AVEC UN PETIT MANQUE DE TEXTE
MARQUE POSTALE B couronné de Bordeaux pour Montauban
Messieurs Rouffio Frères
texte intéressant
marchandises destinée a St Domingue (Haiti)
Navire le Favory de Bayonne allant au Cap
et à expédier par le navire Le Triton pour Port au Prince
et aussi caisses de vin expédiées à Montauban
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUE
1/SUR Bethman et Heinicken
2/ SUR ROUFFIO FRERES Montauban
HISTORIQUE
1/ Bethman et Beinicken BORDEAUX
SOURCES
Famille Metzler de Bethmann - Wikipédia
https://fr.wikipedia.org › wiki › Famille_Metzler_de_Be...
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Au cœur de responsabilités à Bordeaux — La famille Metzler de Bethmann, anciennement Metzler, d'origine allemande et installée à Bordeaux au XVIII e siècle, ...
Termes manquants : heinicken | Doit inclure : heinicken
Famille de Bethmann - Wikipédia
https://fr.wikipedia.org › wiki › Famille_de_Bethmann
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Leur frère Johann-Jakob s'installera en France pour fonder sa propre maison de commerce à Bordeaux. Les affaires de la firme Bethmann commencent à prospérer ...
Acte notarié le 8 mars 1779 - Open Archieven
https://www.openarch.nl › ... › Les actes notariés
6 déc. 2021 — ... 8-3-1779, Jean van der Schilden, Bethman et Heinicken, D. W. VAN VLOTEN, ... Bethman et Heinicken, négociants à Bordeaux de profession ...
2/ HISTORIQUE SUR ROUFFIO MONTAUBAN
SOURCES
UNE INCROYABLE HISTOIRE
SOURCES
ROUFFIO, JOSEPH, négociant, né le 31 octobre 1730 à Montauban, France, fils de Jean-Jacques Rouffio et de Marquèze Nègre, décédé après 1764.
La carrière commerciale de la famille Rouffio en Nouvelle-France nous est très peu connue. Arrivés dans la colonie vraisemblablement en 1752, les frères Rouffio – Jean, Dominique, Pierre, François, Étienne et Joseph – ainsi que leur beau-frère, François Romagnac, y formaient une société de commerce. En 1755, Joseph Rouffio se retirait de cette société à la suite de la querelle provoquée au sein de sa famille par son mariage à Louise Cadet.
Les démêlés de la famille Rouffio avec Louise Cadet et Augustin Cadet, son père, commencèrent en 1753. Pierre Rouffio, qui n’avait pas 20 ans, s’éprit de Louise Cadet et se prépara à abjurer le protestantisme afin de pouvoir l’épouser. Jean, l’aîné de la famille Rouffio, s’y opposa. Pour lui forcer la main, Pierre enleva Louise Cadet. Le père de la jeune fille porta plainte contre le ravisseur devant la Prévôté de Québec, qui condamna le jeune homme aux galères. Quelques semaines plus tard, le Conseil supérieur modifiait la sentence ; il condamnait Pierre Rouffio à verser 10 000# en dommages-intérêts et à être banni de la colonie à moins qu’il ne préférât épouser Louise Cadet. Rouffio choisit de verser la somme, mais on ne sait pas s’il fut obligé de quitter le pays.
Louise Cadet se trouvait dès lors pourvue d’une dot appréciable. C’est peut-être dans l’idée de ramener cette somme dans sa famille que Joseph Rouffio, frère de Pierre, se mit en tête d’épouser Louise Cadet. Mais il rencontra l’opposition forcenée de son frère aîné Jean, car ce projet signifiait, entre autres choses, qu’un deuxième membre de la famille Rouffio ferait acte d’abjuration, Pierre ayant déjà abjuré. En février 1755, Jean Rouffio chercha à obtenir de la Prévôté de Québec, puis du Conseil supérieur, un ordre défendant ce mariage à son frère encore mineur. Cependant le Conseil ordonna « une nouvelle assemblée de voisins ou amis au défaut de parents en ce pays [...] pour [...] donner leur avis et consentement » au mariage. Le 20 mars 1755, les futurs époux signaient un contrat de mariage en communauté de biens selon la coutume de Paris ; Rouffio versait 3 333# 6s. 8d. à la communauté, des 8 000# qu’il déclarait posséder dans la société de commerce dont il faisait partie. De son côté, Louise Cadet apportait ses 10 000# d’indemnisation. Le mariage fut célébré le 8 avril suivant.
Puis, en juillet, Joseph Rouffio se retirait de la société de ses frères ; il reçut sa part de 8 000# dans la société, sa part des héritages de son père et d’un frère décédé en France, laquelle était également de 8 000# et, en plus, 2 000# de dédommagement. Les dettes de Joseph Rouffio envers la société de commerce étaient annulées, mais celles de la société envers Joseph Rouffio furent acquittées. Les intérêts de la famille Rouffio furent ainsi séparés, mais seul Joseph y trouva son avantage. Cependant dans son testament, daté du mois d’août 1755, Jean Rouffio déshérita son frère Joseph.
Au lendemain de la Conquête, Joseph Rouffio serait passé en France et se serait établi à Tours. Il revenait dans la colonie en 1764, probablement pour voir à l’enregistrement et à la liquidation de son papier français, car il inscrivit plus de 85 000# en lettres de change à la liquidation de 1763. On perd sa trace après 1764.
sur cette même histoire
VOIR AUSSI
gendep82.eklablog.com/la-famille-rouffio-1-a159199608
https://genealogietahiti.home.blog/2020/07/06/jacques-rouffio/
EXTRAIT
Les recherches sur Jacques ROUFFIO ont commencé de façon surprenante par la découverte d’une histoire familiale assez rocambolesque qui s’est déroulé en 1755 à Québec.
Les ROUFFIO sont une famille commerçante bourgeoise et protestante originaire de Montauban (Tarn-et-Garonne) au XVIIIè siècle. En 1752, les frères ROUFFIO fondent une société de commerce à Québec. Cette société fut dissoute en 1755 suite à une histoire romanesque entre Joseph ROUFFIO et Louise CADET, qui défraya la chronique. Joseph ROUFFIO abjura sa religion protestante et épousa Louise CADET. Le couple rentra en France en 1764. Jacques ROUFFIO est le petit-fils de ce couple.
VOIR AUSSI
https://gendep82.eklablog.com/la-famille-rouffio-1-a159199608
https://genealogietahiti.home.blog/2020/07/06/jacques-rouffio/#:~:text=Les%20ROUFFIO%20sont%20une%20famille,soci%C3%A9t%C3%A9%20de%20commerce%20%C3%A0%20Qu%C3%A9bec.
EXTRAIT
Joseph ROUFFIO, un grand-père aventurier au Québec
Les recherches sur Jacques ROUFFIO ont commencé de façon surprenante par la découverte d’une histoire familiale assez rocambolesque qui s’est déroulé en 1755 à Québec.
Les ROUFFIO sont une famille commerçante bourgeoise et protestante originaire de Montauban (Tarn-et-Garonne) au XVIIIè siècle. En 1752, les frères ROUFFIO fondent une société de commerce à Québec. Cette société fut dissoute en 1755 suite à une histoire romanesque entre Joseph ROUFFIO et Louise CADET, qui défraya la chronique. Joseph ROUFFIO abjura sa religion protestante et épousa Louise CADET. Le couple rentra en France en 1764. Jacques ROUFFIO est le petit-fils de ce couple.
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